Dans quel monde sommes-nous? Des ébats en plein air à Ouaga

Dans quel monde sommes-nous? On ne se croyais pas dans un pays d'hommes libres et on dirait surtout que certaines femmes ont du feux dans l'entre-cuisse.

Ce que mes yeux ont vu dans la nuit d'hier dépasse l'imaginable car je ne saurais un jour penser que les gens allaient se comporter comme des animaux dans cette belle (???) ville de Ouaga. Vraiment Ouaga est gaté ooooooooh!

Alors qu'on n'a pas encore fini de parler des films pornographiques tournés par des élèves du Lycée de la Jeunesse (en plein aire bien sûr et surtout dans un cadre de rêve à savoir le parc urbain de Bangréwéogo) en replique à leur camarade du LTO qui se serait fait chippée une vidéo dans laquelle elle se débattait très bien avec son petit ami, voilà que certaines personnes on poussé loin le bouchon en faisant cric-crac en plein air.

Le fait en soi n'est pas trop blamable si ce n'est le lieu de l'acte qui pose le problème.

Venons donc au fait:

Hier soir vers 23h45mn TU, alors que je rentrais chez moi (ne me demandez surtout pas d'où je venais); l'idée de prendre un raccourci m'est arrivée lorsque je suis arrivé au niveau de la mairie de Bogodo vers le SIAO. J'ai donc décidé de passer par la rue qui est entre la cloture du SIAO et la mairie de Bogodogo mais quelle ne fut ma surprise lorsque arrivé à la fin de la cloture de la mairie je tourne à droite pour rejoindre l'espace vide en face de l'ancien maquis KUNDE.

Je vois en plein ébats un homme et une femme contre la cloture du CMPJO. Pour être plus explicite, la femme était courbée et avait attrapé les barres de fer de la grille alors que son compagnon est entrain de la saillir de façon vraiment... COMME DANS UN VRAI FILM PORNO QUOI.

L'homme travaillait tellement bien que la femme à un moment jouissait très fort et criait à tue-tête sans plus faire attention à l'entourage. Il fallait voir le petit attroupement (environ 5 personnes) autour d'eux, mais ils ne s'en sont même pas rendu compte.

C'est quand arrivait le tour de l'homme de jouir que tout s'est gaté car il y criait comme un écervelé: Oui, Oui, Oui, ça vient, ça vient, ça vient,.... et au même moment la femme criait comme je ne sais quoi: Oh! C'est doux! c'est doux, c'est bon: vas-y encore! encore! encore! oui j'adore ça, j'aime quand tu me traverses comme ça...

En vérité, la scène a duré plus de cinq (05) bonnes minutes avant que l'homme ne finisse de se vider dans le ventre de sa compagne d'une nuit qui, elle, n'a éprouvé aucune peine ou difficulté quan elle a fini par remarquer qu'ils ne sont plus seuls, mais qu'il y a aussi des spéctateurs en face du podium.

Tous confus, les deux se sont remorqués sur la moto de l'homme et ont filé sous la huée des gens qui ont assisté à la scène.

Est-ce donc à dire que c'est un avant gout des conséquences de la fermeture des chambres de passe qui auront lieu dans quelques mois?

Il y a longtemps que la morale agonise à Ouaga pour parler comme l'autre, mais à part dans film de LTO ou Jeunesse est grave, je n'ai jamais vu ça en live comme ça.

Laloblues à ma place dirait qu'ils ont profané le lieu et souillé le sol par de la leur gnanma gnanma, et l'abbé de la cathédrale lui donnera 100% raison.

Plus jamais ça dèh! Ah bon! Sinon c'est moi même qui vais attraper garçon poser sur femme et appeler mon ami monsieur le bourgmestre de venir regarder film gratuit et ce sera tant pis pour eux dèh!